google.com, pub-3973127691303297, DIRECT, f08c47fec0942fa0 français au lycée: tronc commun, 1ère/2ème A. bac, boîte à merveilles,: Antigone Plus de 50 figures de style: Antigone google.com, pub-3973127691303297, DIRECT, f08c47fec0942fa0

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samedi 14 mai 2022

Antigone Plus de 50 figures de style: Antigone

 

Plus de 50 figures de style: Antigone

1.      Maintenant, tout est déjà rose, jaune, vert. C’est devenu une carte postale. (L’énumération/la métaphore)

2.     Le jardin dormait encore. C'est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes. (La personnification)

3.     Je me suis glissée dans la campagne sans qu'elle s'en aperçoive. (Personnification)

4.     Ah ! C'est du joli ! C'est du propre ! Toi la fille d'un roi ! (L’antiphrase)

5.     Tu me traites comme une vieille bête. (Comparaison)

6.      Tu penses que toute la ville hurlante contre toi…C’est assez. (La métonymie)

7.     Allons ma vieille bonne pomme rouge. (La métaphore)

8.     Ma colombe ! La tête lui tourne d'être sans rien et je suis là comme une idiote au lieu de lui donner quelque chose de chaud.  (La métaphore/l’hyperbole/la comparaison)

9.     - Tu as toute la vie devant toi…Tu as ce trésor, toi, encore.  (La métaphore)

10.  Écoute -moi. J'ai raison plus souvent que toi. (La comparaison)

11.  Ils pensent tous comme lui (Créon) dans la ville. (La comparaison)

12.  Ils nous prendront (les habitants de Thèbes) avec leurs milles bras, leurs milles visages et leurs visages uniques. (L’hyperbole/l’antithèse)

13.  1.Et là il y aura des gardes avec leurs têtes 

d’imbéciles, leurs regards de bœuf qu'on sent 

qu'on pourra toujours crier, essayer de leurs faire 

comprendre, qu'ils vont comme des nègres.(la métaphore/

comparaison)

14.  Antigone a levé sans étonnement ses yeux 

graves sur lui et elle lui a dit «oui» avec un 

petit sourire triste.(L’oxymore)

15.  Etéocle et Polynice, les deux frères ennemis qui 

se sont entretués pour la couronne.(L’oxymore)

16.   Nous allons tous porter cette plaie au côté, 

pendant des siècles.(la métaphore)

17.  Mon frère mort est maintenant entouré 

d'une garde exactement comme s'il avait réussi 

à se faire roi.( la comparaison)

18.  Qu'est-ce que tu as ma petite colombe ? (La métaphore)

19.  Si le bruit court dans la ville, vous mourrez 

tous les trois. (La personnification)

20.  Il faut pourtant qu'il y en ait qui mènent la 

barque. (La métaphore)

21.  On aurait dit une petite bête qui grattait. (La comparaison)

22.  Thèbes a droit maintenant à un prince sans 

histoire. (Les habitants de Thèbes). (la métonymie)

23.  Et tu risques la mort maintenant parce que 

j'ai refusé à ton frère ce passeport dérisoire.

(La métaphore)

24.  Écoute -moi bien. J’ai le mauvais rôle, c’est 

entendu, et tu as le bon. (L’antithèse)

25.  Polynice aujourd’hui a achevé sa chasse. Il a 

droit au repos. (Il est mort) (l’euphémisme)

26.  Vous serez trop, maintenant. Cela ne me fait 

même plus mal .Je n'ai plus de bras. (L’hyperbole )

27.  Tu crois que cela ne me dégoûte pas autant que 

toi, (comparaison) cette viande qui pourrit au soleil (cadavre) (métaphore) ,cela me soulève le cœur. (L’hyperbole) [...] Mais il faut que tout Thèbes sente cela pendant quelque temps. (Métonymie)

28.  Et vous avec votre couronne, avec vos gardes

avec votre attirail, vous pouvez seulement me 

faire mourir parce que vous avez dit "oui."   (L’anaphore/la gradation)

29.  Vous êtes là à boire mes paroles. (La métaphore)

30.  La vie n'est pas ce que tu crois. C'est une eau 

que les jeunes gens laissent couler sans le savoir, 

entre leurs doigts ouverts.( métaphore)

31.  La vie c'est un livre qu'on aime, c'est un enfant 

qui joue à vos pieds, un outil qu'on tient bien dans 

sa main, un banc pour se reposer le soir devant sa 

maison.(métaphore filée)

32.  Dites, à qui devrait -elle (Antigone) mentir, à 

qui sourire, à qui se vendre?( L’anaphore)

33.  Nous sommes de ceux qui lui sautent dessus 

quand ils le rencontrent, votre espoir, votre cher 

espoir, votre sale espoir! (la répétition )

34.  C'est vous qui êtes laids, même les plus beaux.

( L’antithèse )

35.  Tu l'as bien dit tout à l'heure, Créon, la cuisine. 

Vous avez des têtes de cuisiniers ! (Métaphore)

36.  Je ne veux pas vivre si tu meurs, je ne veux 

pas rester sans toi. (L’antithèse)

37.  Tu as choisi la vie et moi la mort. (L’antithèse)

38.  Il fallait y aller ce matin, à quatre pattes, dans 

La nuit. Il fallait aller gratter la terre avec tes 

ongles pendant qu'ils étaient tout près et te faire 

empoigner par eux comme une voleuse.( L’anaphore/ 

comparaison)

39.  Oui, j'en suis l’aide ! C'est ignoble, n'est-ce pas, 

ces cris, ces sursauts, cette lutte de chiffonniers. (La      gradation/l’anaphore)

40.  Qu'est-ce que tu attends pour me faire taire, 

qu'est-ce que tu attends pour me faire taire, 

qu’est-ce que tu attends pour appeler tes gardes ?

(L’anaphore)

41.  Oublie -la Hémon ; oublie -la, mon petit. (L’anaphore)

42.  Antigone ne peut plus vivre. Antigone nous a 

déjà quitté tous. (Elle va mourir) (l’anaphore/

L’euphémisme)

43.  Crois-tu que je pourrais vivre, moi, sans elle ? 

Crois-tu que je l'accepterai, votre vie ? (L’anaphore)

44.  Et tous les jours, depuis le matin jusqu'au soir,

sans elle. Et votre agitation, votre bavardage, 

votre vide, sans elle. (L’antithèse/L’anaphore/ la gradation)

45.  Cette grande force et ce courage, ce dieu géant 

qui m'enlevait dans ses bras et me sauvait des 

monstres et des ombres, c'était toi ? (Métaphore/ L’hyperbole)

46.  Créon est sorti comme un fou. (La comparaison)

47.  Créon, je ne veux plus voir leurs visages, je ne 

veux plus entendre leurs cris, je ne veux plus voir 

personnes ! (L’anaphore)

48.  Alors Hémon le (Créon) regarde avec ses yeux 

d'enfant, lourds de mépris, et Créon ne peut pas 

éviter ce regard comme la lame. (Métaphore/

comparaison)

49.  Je les (Antigone et Hémon) ai fait coucher

l’un près de l'autre, enfin...Ils ont fini, eux. (L’euphémisme)

50.  Elle (Eurydice) aussi. Ils dorment tous. (Ils 

sont morts) (L’euphémisme)

51.  Morts pareils, tous, bien raides (difficile à accepter), bien     inutile, bien pourris. (L’anaphore/la gradation)

52.  Ô tombeau ! Ô lit nuptial ! Ô demeure 

souterraine ! (Métaphore)

53.  Il est parti (Hémon) touché à mort. (L’hyperbole)

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