Analyse chapitre XLVIII
Dernier jour d'un condamné, Victor Hugo
I. La toilette du condamné :
Dans une chambre de l’hôtel de ville une heure avant l’exécution du condamné, le bourreau et ses deux valets faisaient sa toilette qui consiste à :
•Couper ses cheveux.
•Enlever sa veste, détacher sa cravate, couper le col de sa chemise.
•Lier ses mains et ses pieds par une corde.
II. Les sentiments du condamné :
-J’ai tremblé
-j’ai eu beau roidir (devenir rigide, inflexible ), beau me crisper(resserrer), le cœur m’a failli(ne pas tenir le coup).
-Mes coudes ont tressailli (trembler)et j’ai laissé échapper un rugissement ( un cri )étouffé.
III. Les personnes impliquées dans l’exécution :
- le bourreau et ces deux valets. La description de ces personnes et de la foule est dévalorisante dans le but de dénoncer la peine de mort :
- L’horrible peuple qui aboie.
- Le plus vieux, était gras et avait la face rouge .
- (…) comme des chats..
- C’était le bourreau, le valet
- de la guillotine. ..
- Ces bourreaux sont des hommes très doux (l’antiphrase : c’est le contraire qu’il veut dire ).
- Le gros homme au visage bourgeonné. ..
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