Axes
/Extrait
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Extrait n °1, chp XV |
Extrait n °2, chp XXII |
Extrait n °3, chp XXXIV |
Extrait n °4, chp XLIII |
L’événement Principal |
Le condamné a
quitté l’infirmerie,
il est dans son cachot où il pense à l’évasion, à la grâce. |
L’arrivée du condamné à la Conciergerie annonce déjà l’approche son exécution |
Les méditations
du condamné sur son crime et son désir de se repentir |
La visite de Marie, la fille du condamné. |
Le contexte spatio -temporel |
Bicêtre : deux jours avant l’exécution. |
La Conciergerie : deux heures et demi. |
La Conciergerie : une heure (treize
heures ). |
Quatorze heures. |
Les champs Lexicaux |
-La vie : jeune, sain, fort,
robuste. -L’évasion : m’évader, porte
ouverte, laisser. -La mort : guillotine, corde,
couteau, mourir. -Le désespoir : Plus de chance, plus d’espérance,
abîme. |
-Le voyage : la rue, chemin, cariole, roulement, Conciergerie -La terreur : noir, sinistre glacé, cœur allait s’arrêter. -La condamnation : soldat, cachot,
Conciergerie. |
-Le remord : me repentir (2 fois),
remords. -La liberté(passé) : libre, pur, innocent
promenade, errais, bonheur, marchais -La condamnation : Crime, supplice, dernière,
dépareillée, sang, mourir. exécrable, terminer, frissonne, |
- L’amour : Aimer, amour, baisers, doux. -La déception et le désespoir
: cri, mal,
sanglot, oublié, effacé, désespère, pleurait. -La condamnation à mort : arrêt, mort, sentence, brisée. |
Les sentiments du condamné |
L’espoir / le désespoir |
La peur/ la terreur |
Le remord/la colère |
L’amour / la déception Le désespoir. |
Les figures De style |
Métaphore : le pourvoi est une corde qui vous tient
suspendu au-dessus de l’abîme. Hyperbole : Il m’est venue une
idée à me rendre fou.
Antiphrase : Mon pourvoi sera rejeté parce-que tout est en règle. Euphémisme : Je suis robuste […]
Cependant, j’ai maladie, une
maladie mortelle,
une maladie faite de la main des hommes. (La condamnation à mort) |
Comparaison+hyperbole : Ces rues qui serpentent et s’entrecoupent comme les milles chemins d’une
fourmilière. Hyperbole : J’ai cru que les battements de mon cœur allaient s’arrêter aussi. Périphrase : j’ai sauté à bas du cachot roulant. (La
cariole) Hyperbole :la porte s’est ouverte
avec la rapidité de l’éclair. |
Comparaison : je frissonne comme d’une chose
nouvelle. Métaphore : Ma belle enfance ! Ma belle jeunesse ! Étoffe dorée. Hyperbole : Il y a une rivière de sang. Antithèse : Cette année exécrable
qui s’ouvre par un
crime et se clôt
par un supplice. |
Gradation : Je suis tombé sur ma chaise :
sombre, désert, désespéré. Hyperbole : la dernière fibre de mon cœur est brisée. Anaphore : Je l’ai prise, je l’ai enlevée dans mes bras,
je l’ai assise
sur mes genoux, je l’ai
basée sur ses cheveux. |
La visée de L’auteur |
Démontrer l’absurdité
de la peine de mort.
|
Dénoncer la peine de mort en révélant la torture morale du condamné. |
Dénoncer la peine de
mort en voulant toucher le lecteur à travers le repentir du condamné. |
Dénoncer la peine de mort en voulant toucher les sentiments du lecteur à
travers la petite
fille du
condamné. |
Le registre Littéraire où La tonalité |
Ø Pathétique Ø Tragique Ø Ironique |
Ø Pathétique Ø Tragique |
Ø Pathétique Ø Tragique |
Ø Pathétique Ø Tragique |
Synthèse :
Ces quatre textes appartiennent au même type à savoir
le type argumentatif en développant le même thème
<< la
peine de mort >> et en
soutenant la même thèse :
L’abolition de la peine de mort.
Cependant, dans chaque
extrait les arguments varient
dans le but de persuader
tous les partisans de cette peine qu’il faut la supprimer
et aussi pour montrer
que le condamné à mort
souffre
de plus en plus au fur et à mesure que
s’approche le
temps de son exécution (le désespoir total dans l’extrait n°4).
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